« Mon propre nom est une prison,
où celui que j’enferme pleure.
Sans cesse, je m’occupe à en élever tout autour de moi la paroi ;
et tandis que de jour en jour,
cette paroi grandit vers le ciel, dans l’obscurité de son ombre
je perds de vue mon être véritable »
L’offrande Lyrique – Rabindranath Tagore
28 novembre 2013 à 20 h 41 min
Qui vaut mieux : celui qui conçoit dans l’inconséquence ou celui qui forme et donne son nom à l’enfant. Même si la généalogie doit être perturbée.
Bisous
28 novembre 2013 à 12 h 53 min
bonjour, notre nom nous suit, ou nous poursuit, toute notre vie, que ça nous plaise ou non! je te souhaite une bonne journée bisous
27 novembre 2013 à 19 h 05 min
Certains étaient très fier de notre nom de ce que nous étions… ils s’en faisaient une gloire… Dans la famille certains pensaient que nous descendions d’une famille de nobles… mais recherche faite, au au plus loin qu’il faut possible d’aller nous sommes arrivé avec une « fille mère » donc immense désillusion.. et j’ai fait parti de ceux qui en ont bien rie!!!
27 novembre 2013 à 20 h 27 min
Bonsoir Jean,
Oui les recherches généalogiques peuvent surprendre !
Mais outre le nom elles nous apprennent d’où nous venons, nos racines…
Sur certaines époques les « filles mères » arrivaient « souvent »…dans mes recherches sur une des branches il y a eu en deux l’une c’est mariée après coup avec le père de l’enfant l’autre malheureusement non …
C’est tout de même un vide …
La véritable noblesse n’est pas dans le nom mais dans les actes
Bonne soirée.