« Je croyais que mon voyage touchait à sa fin, ayant atteint l’extrême limite de mon pouvoir, – que le sentier devant moi s’arrêtait, que mes provisions étaient épuisées et que le temps était venu de prendre retraite dans une silencieuse obscurité.
Mais je découvre que ta volonté ne connaît pas de fin en moi. Et quand ta volonté ne connaît pas de fin en moi.
Et quand les vieilles paroles expirent sur la langue, de nouvelles mélodies jaillissent du cœur ; et là où les vieilles pistes sont perdues, une nouvelle contrée se découvre avec merveilles« .
L’offrande Lyrique – Rabindranath Tagore
30 septembre 2013
Poemes